Alimentation physiologique
L'EAU
70% de notre corps est formé de molécule d’eau. Une partie est éliminée quotidiennement, et à donc besoin d’être renouvelée. L’attention que l’on portera à l’eau que l’on donnera à notre corps est donc de grande importance.
Actuellement, l’eau sortant de notre robinet est ‘morte’ et remplie de toxique. Il existe 2 axes pallier à cela:
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le plus facile étant de la revitaliser à l’aide d’aimant, de pierre. La stimulation par un vortex me semble la plus efficace (devajal, carafe … ). Mais j’ai l’impression qu’il faut la garder vivante. J’utilise l’information apporter par les aimants, pierres, ou les planches plocher. Toutes ces informations rendent l’eau disponible pour nos cellules. L’eau est plus douce au gout.
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Ensuite, il faut enlevé les toxiques (pesticides, médicaments…) C’est la 1° phase à effectuer. (On Filtre, puis, on redynamise). Il existe beaucoup de procédé.
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Globalement : la filtration par osmose inverse est la plus efficace.
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Les filtres à charbon (système Navoti ou PIMAg chez Nikken (ou son semblable chez Eva) sont un compromis entre efficacité et prix
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Quelques sites pour aller plus loin :
Préambule
Avant même le fait d’amener la nourriture à sa bouche, l’ambiance et notre état interne vont jouer un rôle prépondérant sur la digestion et l’assimilation. La digestion est un processus sous le contrôle du système nerveux parasympathique (le même qui permet de dormir ou est activé lors de relaxation ou de respiration profonde). Il s’active lorsque son confrère, le système nerveux sympathique, se calme. Le sympathique est activé lors de stress ou d’activité physique : c’est celui qui permet de fuir devant le prédateur, ou de préparer le combat.
Ainsi, pour pouvoir digérer, nous devons être dans un état de détente. Si l’on est ‘speed’, cela va être compliqué. Le bol alimentaire va être mis en attente, le temps de pouvoir être digéré (d’autant plus qu’il sera riche en aliments compliqués à digérer : produits animaux…) . Et suivant ce qu’il contient, une fermentation non souhaitable va s’amorcer. Un bon moyen pour activer le nerveux parasympathique consiste à se centrer sur sa respiration.
Puis viennent les stimulations extérieurs qui réveillent la digestion : sentir les odeurs, être content et conscient des aliments que l’on va manger.
Pour bien digérer, il y a mieux que de manger devant la télé ou notre cerveau sera capté et assimilera les informations données par la tv. (tv lobotomie à partir de la 44°12 min, et surtout à la 46° min!)
Ensuite, seulement, vient l’étape où le manger est amené à la bouche. Ici est la 1° étape physique de la digestion. La MASTICATION permet au fibres d’être cassé et broyé « manger le liquide et boire le solide » ;
Ainsi qu’une 1° analyse chimique qui permet d’activer les sucs digestifs nécessaire : un fruit, du pain, ou de la viande seront digérés avec des sucs digestifs différents.
De l’importance d’intégrer le Cru
Jusqu’à présent, nous pensions notre alimentation quantitativement. A présent, notre corps nous demande de plus en plus d’y penser qualitativement. Que ce que nous mangeons nous apporte de l’ENERGIE. Ce changement permet de nous ALLEGER. Cela peut être perturbant car nous avons l’impression/ l’habitude/ l’envie/ la croyance qu’il faut partir le matin avec un petit déjeuner qui nous tienne au corps, ou avoir pris un repas chargé en sucre lent avant une dépense importante…
La digestion prend énormément d’énergie. Autant apporter des aliments les moins énergétivores.
Le CRU, riche en micronutriment (vitamine, minéraux, et enzyme), répond à cette demande. Lors de la cuisson, les micronutriments vont être progressivement dénaturé et/ou détruite. Par exemple, lors de la digestion, le corps à besoin d’enzyme pour digérer. Si il n’en a pas, le système immunitaire va être activé pour remplacer se déficit (ce qui prend de l’énergie, et le stimule alors que l’on pourrait faire autrement) : c’est l’hyperleucocytose. C’est une des raisons de l’accroissement d’intérêt pour les régimes crudivores.
Mais les aliments crus sont riches en fibres qui restent dans le tube digestif et vont servir de balai intestinal. Si la paroi de l’intestin est abimée, elle va s’en trouver encore plus irritée. A ma connaissance, c’est la raison principale justifiant les régimes sans fibres, sans cru ou sans légumes pour éviter les colopathies, ou dans les MICI. Mais ainsi, les entérocytes ne se soigneront pas : c’est comme mettre un pansement sur une zone infectée !
Pour moi, cette paroi intestinale, séparant la lumière intestinale où ce trouve le bol alimentaire de notre milieu intérieure, doit être en bonne santé. C’est par là que les nutriments, dont nous avons besoin, rentrent dans notre corps. Si elle est atrophiée, ou perméable : des éléments, pouvant se révéler pathogènes, pourront se retrouver dans notre sang. A ce moment, le système immunitaire va devoir prendre en charge ces éléments nocifs ( cf Dr Seignalet et l’importance de la perméabilité intestinale allant permettre la mise en place d’inflammations, de maladie auto-immun…)
Une autre raison d’effectuer une transition alimentaire souple et lente est la Flore bactérienne (microbiote https://fr.wikipedia.org/wiki/Microbiote_intestinal_humain). Nous sommes en symbiose avec cette vie présente dans nos intestins : nous lui apportons les éléments dont elle a besoin pour exister, et elle nous fournit protection, vitamine, et finit la digestion des fibres insolubles. Les bactéries vont se développer en présence d’aliment particulier (c’est les entérotypes). Certaine alimentation vont développer la flore pathogène, alors que d’autre alimentation vont stimuler une flore physiologique. Il faut laisser le temps à la flore intestinale d’évoluer en même temps que nos habitudes alimentaire.
En conclusion, il est bon et nécessaire d’intégrer de plus en plus d’aliment cru ou peu cuit, en écoutant son corps. Sinon, à vouloir appliquer une recette sans s’écouter, il se pourra que le cru provoque des désagréments… Nous pouvons manger des aliments crus sous différentes formes :
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Le jus de légume (les fruits apportant douceur et bon gout peuvent être associé à raison de 30% du jus) : nous avons tout l'apport du crus, sans l'action irritante des fibres. C'est la technique indiquée quand les intestins ne peuvent supporter les fibres crus, alors que nous souhaitons apporter de l'énergie vivante. Les jus existent en magasin bio (biotta, Demeter...). Mais il n'y aura jamais l'énergie du vivant d'un jus venant d'être fait, car ils sont généralement stérilisés (mais mieux vaux un peu que rien). Il y a de bon extracteur permettant de faire les jus. A prix égal, ils se valent plus ou moins. (A mon avis, un bon extracteur coûte autour de 300€) . L'avantage d'un jus maison est que l'on est libre de le faire en fonction de ses envies, et que l'on peut y ajouter des plantes sauvages (par ex l'ortie) riches en chlorophylle et en énergie. (Dans ce cas, prendre un extracteur horizontal)
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Mixer ces légumes crus (carottes, betterave…) va permettre aux fibres d’être broyées. Mais l’étape de la mastication et d’imprégnation salivaire des aliments restera importante. Parfois, le cru ne passe pas car nous gobons le cru comme nous avons l’habitude d’avaler nos repas. Notre ventre n’est pas d’accord.
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La technique chinoise du wok permet de réchauffer les légumes : On coupe en petit dés les légumes, on les mets dans la casserole, et on saisit 5 min. En fin de cuisson, on ajoute les épices.
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Une cuisson douce, inférieur à 100°C, lente, la plus courte possible permet de garder les micronutriments, tout en se rapprochant le plus de notre alimentation habituelle. De cette facon, les fibres sont beaucoup moins présente. Certaines casseroles favorisent cette cuisson. On en trouve facilement d’occasion, à présent : omnicuiseur ( http://www.omnicuiseur.com ), le vitaliseur de Marion Kaplan (http://www.vitaliseurdemarion.fr/officiel/), les AMC (https://www.amc.info/fr-fr/ ), les Baumstal (http://www.baumstal.com)
Ensuite, les fruits sont manger cru. Si le repas ne comportent que des légumes, il peuvent être associés à se repas. Par contre, ils ne supportent pas l'accompagnement d'un farineux. Encore plus si le fruit est cuit : le mélange farineux-sucre, donc pain-confiture (ou encore mieux pain-miel), va facilement créer fermentation et ballonement.
Les graines germées sont une façon ludique d’apporter du cru hautement assimilable, très riche en énergie. (http://www.cfaitmaison.com/germs/germes.html ) On ajoute quelques graines à chaque repas. La graine germée, même si à la base elle est céréale ou légumineuse, va se transformer et apporter l’information légume.
Ensuite les algues. Le tartare d’algue (cru) est un met apprécié des connaisseurs (ou des Bretons!). De la même façon, nous pouvons le mélanger au reste de notre alimentation à un moment où à un autre. Cela s’achète tout fait. Ou nous pouvons le fabriquer en mixant des algues (fraiche, ou séchée qui ont été réhydrater), avec du citron, des légumes et de l’huile… Les algues séchés s’achète en magasin biologique, et se garde facilement. Même en habitant à l’autre bout de la France, nous trouvons sur le net des algues crus de bonne qualité élevés en Bretagne.
Pour aller plus loin http://www.cfaitmaison.com/cru/algue-cru.html